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Une maison bleue adossée a la colline |
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le centre |
Il pleut. Ce n’est pas grave, on décide de partir pour Valparaiso à 120 kilomètres d’ici. Nouvelle épopée ? Non ! Des navettes régulières partent de la station de métro de Pajaritos, sur notre ligne. A notre arrivée, les habitudes font que l’on obtient un billet dans les 5 minutes, avec la compagnie qui assure le départ suivant. L’heure et demie de route (une paille) se fait par autoroute. Les vallées fermée en forment de cirques se succèdent comme les tunnels pour les traverser. Les vignes apparaissent lorsque l’on approche de valparaiso (connue pour son vin blanc).
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une ville colorée |
Le temps ne s’arrange pas… les couleurs vives des collines de la ville sont perdues dans la grisaille. Les nuages s’accrochent aux cerros (collines) quand des trombes d’eau s’abattent sur le centre. Qu’à cela ne tienne. On marche le long du port jusqu’au quartier du port. Il paraît qu’il y a de nombreuses cuisines qui proposent des menus « produits de la mer ». Et en effet, dès notre arrivée on se fait accoster par les rabatteurs/euses. « Venez donc manger chez moi… Il y fait CHAUD et le menu est pas cher»… tu m’étonnes. On se laisse tenter par Anita, un petit établissement près de la halle au poisson (fermée et triste si bien qu’on s’est demandé si elle était encore ouverte).
Le temps ne s’améliore pas. On tente quand même la montée en « funiculaire » pour marcher un peu sur les hauteurs. Les petites maisons accrochées aux collines valent quand même le détour. On craint toujours qu’elles ne tombent. Le bric-à-brac de construction ne rassure guère sur l’état de solidité des bâtisses. On continue à mouiller. C’est bon, cette fois on redescend, on saute dans un trolley que l’on hèl
e pour qu’il s’arrête et qui nous emmène au centre. Puis on choisit un bus qui part pour Santiago.
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hall du téléphérique, au sommet de la colline |
Teresa a le pied qui mouille, moi c’est le parapluie et à une moindre mesure mes bas de pantalon. Marco est rentré. On discute de notre journée et on décide d’aller voir un film dans un cinéma d’art et d’essai juste à côté… mais pas de bol, les deux séances sont plébiscitées et il ne reste plus de places. Plutôt que d’aller diner sur Constitucion (a priori très prisé) nous revenons à l’appartement après un petit détour par le supermarché (j’ai faim). On se couchera raisonnablement tôt.
Les petits plus
*Le métro est confortable, moderne. Deux tarifs selon l’heure de la journée. Compter environ 600 chilenos le trajet
*des liaisons régulières partent toutes les 15 minutes de la station Pajaritos (ligne rouge) pour environ 3000 chilenos (comagnies Tur Bur et Pullman). Dépose à la station omnibus de Valparaiso. Après plusieurs possibilités : la marche (traversée du centre tout à fait respectable), le bus, le trolley, le collectivo ou même le « métro » pas très loin.
*Anita : sur Cochrane, avant d’arriver à la place Wheelwright (douane portuaire)
*Quelques cinémas d’art et d’essai : Alameda, sur Providencia (station université catholique) et Normandie angle Ovalle/Zenteno (station Moneda). Cinémas commerciaux de la ville : compter sur Hoytz (il y en a plusieurs, le plus central, Huerfanos)
El minuto hispanico
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dans le trolley |
El dia amanece lloviendo pero no importa confiamos de que va a dejar de llover en un momento dado y nos vemos para Valparaiso en Bus solo son 120 Km que se hace en una hora y media. En Chile hay una buena red de autovias. El paisaje son cerros y viñas. Valparaiso es famosa por sus vinos blancos. Son las doce cuando llegamos y la lluvia sigue….emprendemos el camino hacia el puerto donde hemos leido que hay muchas « cantinas » que proponen comida del mar. Nos dejamos « seducir » por Anita porque llueve y porque la chica que nos viene a buscar en la calle nos asegura que hacer calor. La comida es basica pero rica. La lluvia parece haber flojado y aprovechamos para coger « el ascensor » mas cercano y subimos a uno de los cerros de la ciudad. Aun bajo la lluvia merece la pena. Es un « arco iris » de colores, algunas casa parece que se van a caer pero el color bien agarrado a la pared. Callejeamos durante un rato pero la lluvia nos puede y decidmos coger el primer trolebus que pasa para dejarnos en la estacion de autobuses. Regresamos a Santiago pronto con intencion de ir al cine : La vida de los peces, pelicula chilena nos parece bien pero al llegar al cine las plazas estan agotadas para las dos seciones. Nos quedaremos en casa…..la lluvia sigue.
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