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Avenida Santa Cruz au couleur du pays |
Matinée consacrée au repos et à la suite du voyage. Teresa hurle dans la douche… plus d’eau chaude… j’appelle le standard, on me dit qu’on vient de basculer au solaire et qu’il faut attendre une demi-heure. J’attends donc…
On programme la semaine à venir, on fait des choix. Pour ne pas trop courir et profiter à la fois du Titicaca et de Cuzco (et du Maccu Piccu), on ne verra de Lima que l’aéroport. Notre vol de Cuzco arrivera à 9heures et on redécollera vers 14 heures pour Mexico.
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"micro"-bus pour "mini"-gens |
Vers 11h, on quitte la chambre. La rue nous semble bien calme. Un petit monsieur à qui je demande si l’on est à la bonne « esquina » (coin) pour prendre le micro pour Villa Pabon m’explique que les préparations de la fête nationale du 6 août battent leur plein et que beaucoup de bus sont réquisitionnés, et beaucoup d’axes fermés pour les défilés de répétition. Finalement, il ne vient pas. On part vers le Sud, non sans acheter en passant un tube de crème solaire (le voleur buriné n’en avait sans doute pas besoin).
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La Paz... Deux solutions : monter ou descendre ! :) |
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plein soleil ! |
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Devant le palais présidentiel |
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Le parlement à quelques jours de la fête nationale |
Place d’Espagne, un point de vue et une cevicheria « mi Peru » un peu plus bas… cette fois on a de quoi. Fruits de mer, coquillage, mollusques cuits au citron sont succulent : un plat pour deux suffit amplement. On est repus. On entame une petite marche pour rejoindre un axe susceptible de nous emmener au Killi-Killi, le point de vue le plus élevé de la ville. Cette fois on négocie le prix avec un taxi (vous aurez compris que pour beaucoup de chose, il n’y a pas de prix ou ils ne sont qu’indicatifs). On redescend dans le centre, par les raidillons parfois agrémentés de marches (Montmartre en plus raide et avec moins de cachet). On finit sur la place du pouvoir, entre le parlement et le palais présidentiel, ou un avocat nous explique un peu le système bolivien (discours un peu engagé mais réellement intéressant). Des rues piétonnes, un salon de thé, quelques boutiques, un cirage de pompes et retour à la maison… L’altitude, les côtes auront eu raison de notre volonté ! la musique du petit boui-boui d’en face fonctionne à plein… dommage pour notre nuit : un bolivien « bien frais » entonne (euh… brame) les airs qui passent…
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