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Salar et Tere Hilare (je sais ça rime) |
Nous voilà donc debout vers 5h, pour un petit déj à 5h30. Tout le monde ou presque est prêt à 6 heures … sauf… les chauffeurs ! Le temps de charger, on partira au mieux à 6h45… le soleil pointe dangereusement derrière les montages qui enserrent le Salar. Les chauffeurs appuient sur la pédale, on ironise. Il est vrai que le spectacle est étonnant (mais comme dirait Teresa, c’est quand même qu’un lever de soleil). Non que l’on soit blasé mais ça fait quelques jours qu’on se lève à point d’heure (et c’est pas fini).
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tout pareil |
La Isla de los pescadores (l’Ile des Pêcheurs – ben oui sur un lac de sel…) regorge de curiosité, parmi lesquelles notamment des cactus parfois millénaires. Viendra ensuite le musée de sel (fermé), un pueblo (village) à la limite d’une zone exploitée du Salar, puis, après le déjeuner, le « cimetière de train » (ouaih bon – il fallait sûrement trouver quelque chose à faire) et enfin, Uyuni.
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Volamos |
On entre dans une ville qui donne plus une impression de « bout de monde » qu’Ushuaia. Maisons inachevées, routes de terre, circulation anarchique (la priorité est au plus gros ou celui qui klaxonne), un presque cimetière urbain… et pourtant. Seule une rue donne un aspect « touristique » à une ville qui se vante de l’être. Tous les étrangers s’y retrouvent. On décide de quitter la ville de suite plutôt que de déprimer à y rester.
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Iska de los Pescadores (Ile des Pêcheurs) |
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à ras du sel |
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Culture du sel |
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"besoin d'un mécanicien avec expérience" |
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Uyuni - les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics... |
On prend un billet pour Potosi. Les guides en disent du bien. La seule chose c’est qu’il semblerait que la ville soit bloquée. Qu’à cela ne tienne… 18h30, on enchaîne les kilomètres.
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