La baignade matinale en bord de lac est surprenante de fraîcheur. Les quelques badauds alignés sur la plage se demandent bien si ces deux Français ne sont pas un peu fous! L'eau cristalline se brouille à notre contact et on aperçoit la matérialisation de notre chaleur qui crée un halo autour de nous. Ceci-dit, dès lors que l'on cherche bien, on arrive par quelque miracle à trouver des poches d'eaux chaude - une inversion thermique qui revivifie.
La ville de Kotor n'est qu'à quelques kilomètres de là, toujours en bord de Lac. Entourée de ses douves et de fortifications médiévales, elle recèle des places et des palais qui sonnent bon l'Italie. Les petites rues deviennent souvent ruelles et Les églises orthodoxes rivalisent avec leurs cousines catholiques. La pluie cependant est de la partie, et on s'arrêtera finalement dans un petit restaurant pour se sécher et pour déjeuner.
La route de la côte monténégrine est largement urbanisée est consacrée au tourisme.A l'arrivée dans les villes, il n'est pas rare que l'on perde un peu de temps dans les bouchons. On peut retenir cependant le paysage qui finalement devient plus sauvage au fur et à mesure que l'on descend vers l'Albanie.
Regagner Podgorica par les Monts Rumija et le lac Skandaro donne un bon panorama de la rudesse des climats estivaux méditerranéens (même si l'année est particulièrement humide). Podgorica, en tant que telle, architecturalement parlant, n'a aucun intérêt.
En route pour Niksic, une petite ville au nord-ouest du pays, à l'entrée des gorges qui mènent à Sarajevo, le temps semble se calmer et le paysage récompense l'oeil.
Cette petite ville apparemment endormie bouge bien la nuit son cœur, petit mais animé, laisse une grande place aux bars de nuit. Manger est une autre histoire cependant et il nous a fallu aller à l'étage du supermarché de la place en boute de la rue Njegoseva... à côté d'intersport pour diner au "Mex". On voit que les étrangers ne sont pas nombreux... je ne sais pas pourquoi mais on est dévisagés des pieds à la tête ;-)
La ville de Kotor n'est qu'à quelques kilomètres de là, toujours en bord de Lac. Entourée de ses douves et de fortifications médiévales, elle recèle des places et des palais qui sonnent bon l'Italie. Les petites rues deviennent souvent ruelles et Les églises orthodoxes rivalisent avec leurs cousines catholiques. La pluie cependant est de la partie, et on s'arrêtera finalement dans un petit restaurant pour se sécher et pour déjeuner.
La route de la côte monténégrine est largement urbanisée est consacrée au tourisme.A l'arrivée dans les villes, il n'est pas rare que l'on perde un peu de temps dans les bouchons. On peut retenir cependant le paysage qui finalement devient plus sauvage au fur et à mesure que l'on descend vers l'Albanie.
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| Sveti Stefan (Saint Stéphane) |
Regagner Podgorica par les Monts Rumija et le lac Skandaro donne un bon panorama de la rudesse des climats estivaux méditerranéens (même si l'année est particulièrement humide). Podgorica, en tant que telle, architecturalement parlant, n'a aucun intérêt.
En route pour Niksic, une petite ville au nord-ouest du pays, à l'entrée des gorges qui mènent à Sarajevo, le temps semble se calmer et le paysage récompense l'oeil.
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