MARDI 28 AVRIL - MAMALLAPURAM (tamil nadu, India)

Après de multiples péripéties dans les avions qui nous ont emmené de France vers le Sud de l'Inde, retard, déroutement, perte de bagages... les "7 fantastiques" (parce que l'on voyage à 7 et que ça vaut mieux que le club des sept) se retrouvent pour une étape repos au resort du Blu radisson de Mamallapuram. Avec Michèle (ma mère), Catherine (une compagnonne habituée - il faut féminiser aujourd'hui), Anthony, Marion, Steeve et Christine (la mère de Steeve), nous entamons une épopée d'une quinzaine de jour entre Tamil Nadu et Kerala.

Chacun en début de voyage a pu découvrir ou se replonger dans l'ambiance, les odeurs, la couleur, et le bruit de l'Inde... ou à Agra (pour aller voir le Taj Mahal) ou à Chennai (l'ancienne Madras). Le Resort est un havre de paix déconnecté de ce qui l'entoure... luxe, calme et volupté... ce qu'il faut au final pour se remettre des semaines de travail et des heures de vol. La journée s'apprécie à la juste valeur des 4 étoiles et demie (?!). Balade sur la plage en bord du Golfe du Bengale, bateaux de pêcheurs raccommodés et flamboyants (en préface du shore temple), rues étroites, enchevêtrées qui amène vers une rue centrale grouillante sous un soleil de plomb (il fait 40°).







Les temples principaux de la ville sont sculptés dans la roche, ou y sont creusés. Un très bel endroit dont Cummar nous a fait la visite. Dommage que l'apparente gentillesse et curiosité de notre guide improvisé ne finissent encore (comme souvent) en une demande pécuniaire... quand bien même, une fois encore, rien de tel n'était acquis. Cela ne m'étonne plus... et finalement, finit par faire partie d'une déception: celle de n'être au final qu'un touriste-tirelire. Les choses se comprennent évidemment au vu de l'énorme disparité de niveau de vie. Mais tout de même.





De retour au resort, on profite ensemble ou séparément des commodités et petites activités proposées... Je me suis même essayé à un petit golf 9 trous...
On dînera le soir en ville au restaurant végétarien du Mamallaa heritage... il n'y avait que nous... la saison touristique n'est pas dans ses meilleurs jours. Pas étonnant donc de voir les indiens, yeux écarquillés de voir cette petite bande de 21 à 65 ans arpenter les lieux

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