Pondicherry conserve juste un petit air de France qui par touche rappelle que la ville a un jour eu un passé colonial. La France y est d'ailleurs toujours bien présent au travers de son lycée Français ou son institut. Ses anciennes maisons blanches dans une ville au cordeau côtoie l'habituel désordre indien.
On frôle les murs, on recherche l'ombre ou le petit brin d'air de cette jetée encailloutée de laquelle on aperçoit tantôt Gandhi ou Nehru, tantôt Jeanne D'Arc ou la monument aux morts commémorant les grandes guerres. Les bars sont rares mais on arrive à se pauser miraculeusement dans un petit sur la promenade.
Après avoir trouvé un taxi collectif pour le lendemain (5300 roupies pour infos pour 180km), on boira un verre à l'Espace (rue Labourdennais) avant de manger un bout à la plancha sur Romain Rolland.
On frôle les murs, on recherche l'ombre ou le petit brin d'air de cette jetée encailloutée de laquelle on aperçoit tantôt Gandhi ou Nehru, tantôt Jeanne D'Arc ou la monument aux morts commémorant les grandes guerres. Les bars sont rares mais on arrive à se pauser miraculeusement dans un petit sur la promenade.
Après avoir trouvé un taxi collectif pour le lendemain (5300 roupies pour infos pour 180km), on boira un verre à l'Espace (rue Labourdennais) avant de manger un bout à la plancha sur Romain Rolland.
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